Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré
MAINTENON (1635-1719)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
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Lettres | 1752 | 811 citations |
Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.
Qu'elles gardent leurs règles ; qu'elles s'éloignent du monde ; qu'elles travaillent de leurs mains.
Lett. à Mme la Viefv. 14 juin 1707 (règle)Comptez que les secrets les mieux gardés ne le sont que pour un temps, et qu'il n'est point de pays où il y ait plus d'indiscrétion, que celui où tout se fait avec mystère.
Avis à la duch. de Bourgogne, Lett. t. III, p. 207, dans POUGENS. (indiscrétion)Jamais rien ne m'a plus flattée que le goût que je vous ai toujours vu pour moi.
Lett. à Mme de Dangeau, t. VII, p. 115, dans POUGENS. (goût)Qu'elle vienne samedi ou dimanche après dîner à Saint-Cyr ; ce sont les jours où j'y vais le plus ordinairement.
Lett. au card. de Noailles, 3 mai 1700 (ordinairement)Mme de Montespan s'est jetée dans la plus grande dévotion ; il est bien temps qu'elle nous édifie.
Lettre à Mme de St-Géran, 10 sept. 1683 (dévotion)Je n'ai de crédit que pour les choses dont je ne me soucie point.
Lett. au D. de Noailles, 13 févr. 1711 (soucier)Je suis bien difficile à joindre ; j'ai plus d'affaires que jamais.
Lett. à Mme de Brinon, t. II, p. 225, dans POUGENS (joindre)Nous sommes occupés, et trop publiquement, d'un parti de cinquante hommes qui a passé quelques rivières, et qui a dessein d'enlever quelque personne considérable.
Lett. au duc de Noailles, 9 nov. 1710 (parti [3])Mourez au monde : ne le reprenez pas au parloir après l'avoir renoncé à la grille.
Lett. à Mlle de Champlebon, 4 mars 1706 (mourir)Je ne suis pas en belle humeur : les affaires de Flandres prennent un mauvais tour.
Lett. au duc de Noailles, 15 août 1711 (humeur [1])Je dis ensuite au roi une partie de la réprimande que j'avais faite à son ministre.
Lett. au card. de Noailles, 21 mai 1701 (réprimande)Les voilà avec la guimpe et le voile, et aussi religieuses à l'extérieur qu'elles le sont dans l'âme.
Lett. à Mme de Villette, 13 août 1708 (guimpe)Ma solidité [Louis XIV appelait Mme de Maintenon Votre Solidité, comme on dit Votre Majesté] est assez étonnée de ces choses-là.
Lett. à de Villette, 11 août 1708 (solidité)Je suis obsédée ou de femmes que je méprise, ou d'hommes qui ne m'aiment point.
Lett. à Mme de Glapion, 31 juillet 1712 (obséder)Je serais bien contente s'il n'y avait point de lansquenet.
Lett. au duc de Noailles, 22 fév. 1706 (lansquenet)Toute la cour est affligée, j'en ai ma bonne part.
Lett. à Mme de..., 1705, t. III, p. 163, dans POUGENS (part [2])Persuadé qu'il ne faut pas se dégrader de son consentement, mais souffrir ce que la loi du plus fort voudra faire.
Lett. à Mme de Caylus, 11 sept. 1716 (loi [1])Ce sont des sentiments dont vous pâtissez, peut-être…
Lett. à d'Aubigné, 27 sept. 1684 (pâtir)Ma place ne m'a pas encore endurcie ; je sens tout trop vivement.
Lettre au card. de Noailles, 5 avril 1700 (endurcir)Il me sera difficile d'oublier tous ces lundis où j'avais le plaisir de vous ouvrir mon cœur sur toute sorte de sujets.
Lett. au card. de Noailles, 24 oct. 1700 (ouvrir)