Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON, auteur cité dans le Littré
MAINTENON (1635-1719)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MAINTENON a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
---|---|---|
Lettres | 1752 | 811 citations |
Quelques citations de Françoise d'Aubigné, marquise de MAINTENON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 842 citations dans le Littré.
J'ai fait présenter deux placets au roi, où l'abbé Testu a mis toute son éloquence ; ils n'ont pas seulement été lus.
Lett. à Mme de Chantelou, 28 avril 1666 (placet [2])Il faut l'habiller large pour qu'un enfant soit à son aise.
Lett. à d'Aubigné, 7 sept. 1683 (large)Je ne croyais pas que les denrées fussent si chères.
Lett. à Mme de la Viefville, 23 fév. 1709 (denrée)Conduisez-vous partout, comme si vous y deviez passer votre vie.
Lett. à M. d'Aubigné, 28 oct. t. I, p. 122, dans POUGENS. (passer)Je n'ai point encore vu le déchaînement de l'envie contre vous ; mais patience, cela viendra.
Lettre au duc de Noailles, 26 janv. 1711 (déchaînement)Je serai au comble de ma joie, si je vous vois enfin ménagères, pauvres en esprit, et épargnant pour donner, comme les avares épargnent pour amasser.
Lett. à Mme de R. 11 oct. 1693 (ménager, ère [2])M. le prieur Dornaville m'ayant tout saintement tenu le pied sur la gorge pour profiter de l'occasion.
Lett. à Mme d'Aubigné, 9 juin 1685 (pied)M. le duc du Maine avait eu trois accès de fièvre tierce qui m'avaient donné beaucoup d'inquiétude ; il a eu cette nuit le quatrième, qui n'a marqué qu'un moment.
Lett. à l'abbé Gobelin, 12 mai 1675 (marquer)Je lui ai conseillé de ne rien épargner ; mais je ne m'en vante pas à Mme la duchesse de Noailles.
Lett. au card. de Noailles, 25 nov. 1700 (vanter)Mme votre mère ne vivait pas, et nous vous trouvions bien plus en danger que pendant la petite vérole.
Lett. au duc de Noailles, 29 mai 1706 (vivre [1])Si je me remplissais aussi bien de Dieu que je vide ma maison de toutes sortes de compagnies, vous seriez bien content de moi.
Lett. à l'abbé Gobelin, 1675, t. II, p. 49 (remplir)Persuadé qu'il ne faut pas se dégrader de son consentement, mais souffrir ce que la loi du plus fort voudra faire.
Lett. à Mme de Caylus, 11 sept. 1716 (loi [1])Trois heures au miroir tous les matins ; c'est deux de trop.
Lett. à M. d'Aubigné, 28 fév. 1678 (miroir)Voilà donc Athalie encore tombée ! le malheur poursuit tout ce que je protège et que j'aime.
Lett. au duc de Noailles, t. v, p. 1, dans POUGENS (tombé, ée)Je finis hier ma journée par les matines pour le service du roi [Louis XIV mort] ; jugez de l'état où je suis.
Lett. à Mme de Caylus, 30 août 1716 (matines)Le roi me demanda hier si vous ne seriez pas toujours en habit long.
Lett. au card. de Noailles, 6 nov. 1695 (habit)Ce n'est point à vous à réparer ni ses malheurs, ni ses sottises.
Lett. à Mme d'Aubigné, 20 oct. 1681 (réparer)Vous ne connaissez pas la moitié de ma tendresse pour vous.
Lett. à M. d'Aubigné, 12 juillet 1678 (moitié)Quand je songe à mon personnage, je crains toujours d'avoir des amis : il y a un malheur attaché à tout ce que je protége.
Lett. à Mme de Caylus, 5 fév. 1717 (malheur)Les présidents à mortier étaient assez ridicules avec leurs mortiers sur la tête, qui de loin paraissaient de ces boîtes plates de confitures.
Lett. à M. de Villarceaux, 27 août 1660 (président)