Benjamin LEGOARANT, auteur cité dans le Littré
LEGOARANT (1781-?)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme LEGOARANT a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
| Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
|---|---|---|
| Nouvelle orthologie française | 1832 | 622 citations |
Quelques citations de Benjamin LEGOARANT
Voici un tirage aléatoire parmi ses 622 citations dans le Littré.
Matière colorante extraite de la roccelle des teinturiers (lichens) et non colorée par elle-même, mais devenant d'un beau rouge violet sous l'influence de l'air et de l'ammoniaque.
Le mirement les relève ; il arrive souvent le matin qu'on découvre jusqu'à la flottaison un bâtiment situé presque à perte de vue à l'horizon, et l'on dit alors que ce navire est en mirement.
Genre de guttifères dans lequel on distingue la stalagmitide cambogioïde qui fournit la résine-gutte de Siam ou véritable.
Les Gémeaux placés entre le Taureau et le Cancer sont représentés par Castor dont la tête contient une étoile de première grandeur, et par Pollux qui porte dans sa tête une étoile de seconde grandeur ; de là vient le nom de Gémeaux qui a remplacé celui de Castor et Pollux donné précédemment à cette constellation.
On distingue : la raie commune ou raie proprement dite ; la raie bouclée ; la raie bâtis, connue aussi sous les noms de bâtis et de raie cendrée ; la raie oxyrrhynque, dite autrement alène, bœuf, etc.
Terme de manufacture par lequel on désigne un certain nombre des fils de la chaîne, en sorte que les draps employés pour les troupes étant de 18 ains et de 22 ains dans le même lé, ces derniers sont plus fins.
(ain)Nom moderne du genre marsouin (cétacés), dans lequel on distingue : la phocène commune, dite vulgairement marsouin, porc de mer, porc marin, etc. dont une variété à peau brune est appelée faucille aux Antilles françaises ; la phocène orque, nommée orque et épaulard.
Ce coup de vent a produit des dénivellements de plusieurs mètres.
Genre d'euphorbiacées, où l'on distingue l'excoecaria agalloche, connue dans l'Inde sous le nom de calambac et appelée par Rumphius arbre aveuglant.
Les plantes qui croissent près de la mer se nomment plantes maritimes, et l'on appelle plantes marines celles dont le pied est dans la mer.
Cette maison de ferme contient un are soixante centiares, sous-sol et déport.
Masse de tissu cellulaire placée, quand elle existe, autour, à l'intérieur ou à côté de l'embryon, et destinée à lui fournir les premiers matériaux de son accroissement.
Un des noms sous lesquels on a désigné la phytolaque décandre (chénopodiacées), dite aussi herbe à la laque, morelle des Indes, grande morelle des Indes, morelle en grappes, épinard de Virginie et méchoacan du Canada, tandis que son fruit est appelé raisin d'Amérique ; originaire des États-Unis, cette phytolaque est cultivée dans nos grands parterres.
Espèce minérale de la famille des sulfurides, genre sulfure, constituée par 1 atome sulfure de fer et 3 atomes sulfure de zinc, qu'on trouve à Marmato.
Genre de poissons acanthoptérygiens où l'on distingue : le smaris vulgaire, qui est le spare smaris de certains auteurs, il est appelé picarel et garou sur les côtes de la Méditerranée ; le smaris bilobé, qui a été le spare bilobé ; le smaris zèbre, qui était le spare zèbre,
Les anciens oryctographes employaient ce mot pour désigner les coquilles bivalves fossiles, tandis qu'ils désignaient les coquilles univalves fossiles par les termes de cochlite ou cochilite.
Genre de rosacées, dans lequel on distingue : le prunier domestique, originaire de la Syrie et de la Dalmatie ; le prunier épineux, dit pruneflier, épine noire ; le prunier de Briançon, appelé dans les Alpes marmottier, et dont l'amande fournit l'huile de marmotte ; le prunier de Chine, nommé mal à propos par les horticulteurs amandière à fleurs doubles ; le prunier cérasifère, cultivé dans nos jardins sous le nom de prunier mirobolan.
Des chevaux, une jument crochet ou panard.
On y distingue encore le rhombe podas, qui était le pleuronecte podas, le rhombe ponctué dit targeur et qui était le pleuronecte ponctué ; le rhombe maxime de Cuvier, communément dit turbot, faisan et faisan d'eau ; le rhombe panthérin de Ruppel, qui, suivant le même auteur, est appelé vulgairement arid.
Qui peut être qualifié,