Benjamin LEGOARANT, auteur cité dans le Littré

LEGOARANT (1781-?)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme LEGOARANT a été choisie.

622 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Nouvelle orthologie française 1832 622 citations

Quelques citations de Benjamin LEGOARANT

Voici un tirage aléatoire parmi ses 622 citations dans le Littré.

  1. Certaines plantes dédaignées par les bestiaux et qui subsisteraient plusieurs années, obligent de mettre le feu à la fin de chaque hiver à quelques savanes de l'Amérique pour qu'elles deviennent pâturables.
  2. Genre de myricées, dans lequel on distingue le liquidambar styraciflue, ou liquidambar copalme, qui fournit, par incision, un suc résineux d'une couleur ambrée, connue sous le nom de liquidambar, et appelé aussi styrax liquide, ambre liquide, résine liquide de la Nouvelle-Espagne, baume copalme, copalme liquide.
  3. La scolopendre mordante, qui habite la France méridionale, a parfois 8 centimètres de longueur ; certaines espèces de l'Inde atteignent 20 à 25 centimètres.
  4. Ce que vous filez là, est d'une jolie doite.
  5. Un petit nombre de coups de knout donnent la mort ; quatre à cinq suffisent pour ne faire qu'une plaie du corps du condamné.
  6. Tête de serpent, espèce de coquille univalve, le strombe lentigineux qu'on nous apporte de l'océan Indien.
  7. Chaque tourillon d'une bouche à feu est reçu dans l'encastrement du flasque.
  8. Le myrica cérifère, appelé cirier de la Louisiane, et absolument cirier, dont le petit fruit globuleux est couvert d'une matière blanche, comme onctueuse, laquelle a beaucoup d'analogie avec la cire des abeilles.
  9. Art d'assainir les terres trop humides au moyen de rigoles souterraines que l'on garnit intérieurement de pierres ou de fascines, de briques ou de tuiles ; on remplace le plus souvent ces rigoles par des tuyaux en terre cuite, dits drains.
  10. Saxifrage tubéreuse, nom donné par les jardiniers à une plante du Cap, crassulacées,
  11. Cet alto n'est pas commun, on l'a fileté.
  12. Genre de polypiers, où l'on distingue le pagre élégant, qui se trouve en Normandie.
  13. Les plantes qui croissent près de la mer se nomment plantes maritimes, et l'on appelle plantes marines celles dont le pied est dans la mer.
  14. La malléabilité de l'or est telle qu'on peut en mettre plus de 10 000 feuilles dans 1 millimètre d'épaisseur.
  15. Grande cuillère employée pour enlever de dessus le dépôt un liquide clarifié dont la surface trop peu élevée au-dessus du sol ne permet pas de se servir du siphon, et lorsque le vase contenant ne peut être perforé pour y adapter une cannelle.
  16. L'aiguillée a une longueur presque déterminée, et il en est différemment de la doitée qui peut fournir plusieurs aiguillées, sans toutefois être jamais d'une grande longueur, ou se trouver même plus courte que l'aiguillée : c'est donc un terme plus vague : Je ne veux pas le peloton ; donnez-moi seulement une doitée, une petite doitée, une forte doitée, une doitée d'environ deux aiguillées.
  17. Nom donné à chacun des trois membres pris dans le conseil de fabrique, c'est-à-dire parmi les fabriciens, pour composer un bureau sous le titre de président, secrétaire et trésorier ; les marguilliers sont chargés de dresser le budget de la fabrique, de préparer les affaires qui doivent être portées au conseil, d'exécuter ses délibérations, et de diriger l'administration journalière du temporel de la paroisse.
  18. Chapelet d'oignons, assemblage d'oignons lequel, constitué par des oignons secs, a une forme pyramidale contenant, sur une longueur de 40 à 50 centimètres, plusieurs rangées horizontales dont les plus élevées offrent les petits oignons ; leur grosseur va en augmentant jusqu'à la base où sont les plus gros,
  19. L'opinion la plus probable sur la matière de ces nids, c'est qu'elle est constituée, pour la plus grande partie, par un mucus très concrescible que sécrètent abondamment, au temps de la ponte, les follicules muqueux du jabot… il paraît pourtant que l'oiseau emploie aussi à la construction de ce nid des thalassiphytes (du genre gélidie), mais en petite quantité, et peut-être encore d'autres substances.
  20. Nom donné par d'anciens auteurs aux deux plantes précédentes, à la ptarmique vulgaire et au polygonum bistorte.