Horace-Bénédict de SAUSSURE, auteur cité dans le Littré

SAUSSURE (1740-1799)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme SAUSSURE a été choisie.

162 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Voyages dans les Alpes, précédés d'un essai sur l'histoire naturelle des environs de Genève 1769 151 citations

Quelques citations de Horace-Bénédict de SAUSSURE

Voici un tirage aléatoire parmi ses 162 citations dans le Littré.

  1. Les jardins des religieux [du mont Saint-Bernard], situés sur de petits terre-pleins entre les rochers les mieux abrités du voisinage.
    Voy. Alpes, t. IV, p. 206, dans POUGENS (terre-plein)
  2. Le brouillard nous fit manquer une pente de gazon par laquelle nos guides nous promettaient de nous faire descendre.
    Voy. Alpes, t. v, p. 142, dans POUGENS (pente)
  3. Un pétrosilex primitif ou paléopètre.
    Voy. Alpes, t. VII, p. 287, dans POUGENS (paléopètre)
  4. La cime de la montagne est une pointe mousse, coupée en pic du côté de la vallée de Chamouni.
    Voy. Alpes, t. III, p. 56, dans POUGENS (mousse [1])
  5. Il savait fort bien que c'étaient des relèvements que je prenais.
    Voy. Alpes, t. VI, p. 178, dans POUGENS (relèvement)
  6. La Crau, cette plaine si célèbre par sa grandeur et par l'énorme quantité de cailloux roulés dont elle est couverte.
    Voy. Alpes, t. VI, p. 140, dans POUGENS (plaine)
  7. En continuant de marcher au sud, je passai sur une tête de rocher composée en entier de delphinite.
    Voy. Alpes, t. VIII, p. 216 (tête)
  8. Les agricoles qui ont voulu suppléer aux engrais par des labours trop fréquemment répétés… ont vu leur terre s'appauvrir graduellement, et leurs champs devenir stériles par la destruction de la terre végétale.
    Voy. Alpes, t. v, p. 208, dans POUGENS (terre)
  9. Le charbon ne brûlait dans cet air rare que d'une manière languissante et à force d'être animé par le soufflet.
    Voy. Alpes, t. VII, p. 367, dans POUGENS (rare)
  10. L'Arveiron est un torrent considérable, qui sort de l'extrémité inférieure du glacier des Bois par une grande arche de glace.
    Voy. Alpes, t. III, p. 1, dans POUGENS (torrent)
  11. Je suis bien porté à croire, comme M. de Luc, que les sables ne sont point tous des produits du brisement ou détritus des pierres.
    Voy. Alpes, t. V, p. 294, dans POUGENS (sable [1])
  12. Phénomènes qui accompagnent l'éruption, comme tonnerres, éclairs, électricité positive ou négative, bruits souterrains, tremblement de terre, scories, cendres et pierres lancées à quelle hauteur ? à quelle distance ?
    Voy. Alpes, t. VIII, p. 297 (scorie)
  13. Y a-t-il des phénomènes météorologiques qui annoncent ou accompagnent les tremblements de terre, comme chaleur extraordinaire, calme, orages, mouvements du baromètre, électricité, vapeurs épaisses dans l'air, pâleur ou couleur particulière du soleil ou des étoiles ?
    Voy. Alpes, t. VIII, p. 307, dans POUGENS (tremblement)
  14. La force réfrigérante de l'évaporation.
    Voy. Alpes, t. V, p. 359, dans POUGENS (réfrigérant, ante)
  15. Les couches [d'un certain terrain] sont peu épaisses, ondées et coupées fréquemment par des fentes parallèles entre elles et perpendiculaires à leurs plans.
    Voy. Alpes, t. III, p. 247, dans POUGENS (ondé, ée)
  16. On est surpris de voir cette montagne [le Môle], qui de Genève paraît un pain de sucre, se prolonger dans la direction de la vallée de l'Arve.
    Voy. Alpes, t. II, p. 127, dans POUGENS (pain)
  17. Dans le physique comme dans le moral, les précipices que l'on ne voit pas, et auxquels on arrive par des pentes plus ou moins rapides, sont beaucoup plus dangereux que ceux qui se montrent à découvert.
    ib. t. IV, p. 32 (précipice)
  18. Les sables qui sont mobiles dans le moment où les flots les amoncellent sur les bords, mais qui, par le moyen du suc calcaire que la mer y infiltre, se durcissent graduellement au point de servir à des pierres meulières.
    Voy. Alpes, t. I, p 363, dans POUGENS (meulière)
  19. Il nous dit que ce village était sujet, en hiver, à de grandes intempéries, et surtout à des tourbillons de vent que l'on nomme tourmentes.
    Voy. Alpes, t. VIII, p. 130, dans POUGENS (tourmente)
  20. Dans ces schistes mêmes, je n'ai jamais vu autant d'ondulations et de zigzags qu'il y en a dans les couches de cette pierre calcaire.
    Voy. Alpes, t. V, p. 282, dans POUGENS (ondulation)