Germain-François Poullain de SAINT-FOIX, auteur cité dans le Littré

SAINT-FOIX (1698-1776)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme SAINT-FOIX a été choisie.

225 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Essais historiques sur Paris 1754-1757 217 citations

Quelques citations de Germain-François Poullain de SAINT-FOIX

Voici un tirage aléatoire parmi ses 225 citations dans le Littré.

  1. Maître Jean le Chatelier, premier président au parlement de Paris en 1329, chaque fois qu'il y présidait, recevait du roi dix sols.
    Ess. Paris, Œuvr. t. IV, p. 263, dans POUGENS (président)
  2. Croirait-on que le jugement de Sancho dans l'île de Barataria est tiré presque mot à mot d'un recueil de légendes écrites en latin par un Espagnol du XIIe siècle, et dont la bibliothèque du roi conserve le manuscrit ?
    Ess. Paris, Œuv. t. IV, dans POUGENS (mot)
  3. La belle Agnès [Sorel] laissa un fonds pour la pitance d'œufs, au jour de son anniversaire.
    Ess. Paris, Œuvr. t. III, p. 229, dans POUGENS (pitance)
  4. Le Louvre, après avoir été hors des murs pendant plus de six siècles, se trouva enfin dans Paris par l'enceinte commencée sous Charles V en 1367, et achevée sous Charles VI en 1383.
    Ess. Paris, Œuv. t. III, p. 185, dans POUGENS (louvre)
  5. Le trésorier de la cathédrale de Nevers a le droit d'assister au chœur, botté, éperonné, l'épée au côté, et l'oiseau sur le poing.
    Ess. Paris, Œuv. t. v, p. 285, dans POUGENS (poing)
  6. Sous la première et la seconde race, on n'enterrait pas même dans l'enceinte des villes.
    Ess. Paris, Œuvres, t. IV, p. 27, dans POUGENS (enterrer)
  7. Il [Louis XIV] renfermait les placets qu'on lui donnait dans une cassette dont lui seul avait la clef.
    Ess. Paris, Œuv. t. IV, p. 193 (placet [2])
  8. C'est de là, des fenêtres d'une maison qui subsiste encore [hôtel qui avait appartenu au connétable de Bourbon], qu'un jeune monarque… tira, la nuit de la Saint-Barthélemy, sur ses propres sujets qui passaient l'eau pour se sauver au faubourg Saint-Germain.
    Ess. Paris, Œuv. t. III, p. 25, dans POUGENS (tirer)
  9. Le roi, deux fois par an, distribuait des manteaux rouges fourrés d'hermine ou de menu vair aux chevaliers qu'il retenait auprès de sa personne.
    Ess. Paris, Œuv. t. IV, p. 111, dans POUGENS (vair)
  10. Il [Henri V] mourut à Vincennes le 31 août 1422, d'un mal qu'on appelait alors mal saint fiacre et qui n'était autre, dit-on, que la fistule.
    Essais sur Paris, Œuvres, t. v, p. 227, dans POUGENS (fistule)
  11. Édouard avait toujours éludé de donner ses lettres de renonciation à ses prétentions sur la couronne de France.
    Ess. Paris, Œuv. t. V, p. 140, dans POUGENS (renonciation)
  12. Le 23, le duc de Bourgogne fit assassiner le duc d'Orléans, et le lendemain assista à ses funérailles la larme à l'œil, et portait un des coins du drap mortuaire.
    Ess. Paris, Œuv. t. V, p. 192, dans POUGENS (larme)
  13. Le temps de la ligue qui survint, et l'inutilité d'aller acheter des parchemins, depuis que le papier était devenu commun, contribuèrent beaucoup à l'abolissement du lendit ; le nom cependant en est resté, et l'on appelle ainsi le congé que prend encore l'Université le lundi après la Saint-Barnabé.
    Ess. Paris, Œuv. t. III, p. 342, dans POUGENS (lendit)
  14. Les dix seigneurs qui étaient avec le dauphin étaient aussi croyables que les dix qui avaient accompagné le duc de Bourgogne.
    Ess. Paris, Œuvres, t. V, p. 202, dans POUGENS (croyable)
  15. Une pauvre femme fort âgée et qui n'avait rien à donner, porta un jour un petit chat à l'offrande, disant qu'il était de bonne race, et qu'il servirait à prendre les souris de la sacristie.
    Ess. Paris, Œuv. t. IV, p. 358, dans POUGENS (offrande)
  16. Dans la nécessité ou de forcer ce gué, ou de combattre avec un grand désavantage Philippe, qui le talonnait de fort près.
    Ess. Paris, Œuv. t. v, p. 103, dans POUGENS (talonner)
  17. Ce ne fut que vers la fin de la seconde race que, les fiefs, qui n'étaient auparavant qu'à vie, étant devenus héréditaires, on prit le nom du fief que l'on possédait, et ce nom devint aussi héréditaire dans les familles.
    Ess. Paris, Œuv. t. IV, p. 254, dans POUGENS (nom)
  18. Il [le curé de Saint-Paul] déclama fortement contre les confréries, et menaça d'excommunication ceux qui s'y enrôleraient.
    Ess. Paris, Œuvres, t. IV, p. 213, dans POUGENS (enrôler)
  19. Corneille de la Pierre, dans ses commentaires sur l'Écriture sainte, rapporte qu'un moine soutenait et prêchait que le bon gibier avait été créé pour les religieux, et que, si les perdreaux, les faisans, les ortolans pouvaient parler, ils s'écrieraient : Serviteurs de Dieu, soyons mangés par vous.
    Ess. Paris, Œuv. t. IV, p. 239, dans POUGENS (gibier)
  20. Les juges du comté de Valois firent le procès à un taureau qui avait tué un homme d'un coup de corne, et le condamnèrent à être pendu ; la sentence fut confirmée par arrêt du parlement le 7 février 1314.
    Ess. Paris, Œuv. t. V, p. 399, dans POUGENS (pendre)