Olivier DE LA MARCHE, auteur cité dans le Littré

DE LA MARCHE (1425-1502)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme DE LA MARCHE a été choisie.

77 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Olivier DE LA MARCHE

Voici un tirage aléatoire parmi ses 77 citations dans le Littré.

  1. Ne tentez Dieu ne son executeresse fortune.
    Mém. liv. I, p. 291, dans LACURNE (exécuteur, trice)
  2. D'après le sablon couru et demie heure passée [dans les joutes il y avait un sablier pour mesurer le temps].
    Mém. liv. II, p. 560, dans LACURNE (sablon)
  3. Vint le noir de la nuit.
    Mém. liv. II, p. 634, dans LACURNE (noir, oire)
  4. Philippe de Valois, fils de Charìes, comte de Valois, fils de Philippe, fils de saint Louis et demi-frere de la dite royne d'Angleterre.
    Mém. p. 37, dans LACURNE (frère)
  5. Ne restoit plus de son emprise que la fourniture des armes à pié [le combat à pié].
    Mém. liv. VI, p. 194. dans LACURNE (fourniture)
  6. Furent apportées les haches au seigneur d'Espiri, pour choisir le premier, comme c'estoit la coustume ; et furent icelles haches ferrées, longues et poisantes, à grandes dagues acerées dessus et dessous, et furent les premieres haches à dagues dessous que l'entrepreneur fit livrer en iceluy pas.
    Mém. liv. I, p. 266, dans LACURNE (hache [1])
  7. Si le deffendant a un bras affolé, on doit occuper un bras à l'appellant, tellement qu'il ne s'en puisse aider.
    Gage de bat. f° 26, dans LACURNE (occuper)
  8. Et la getta [la visière de sa salade] loing de luy en arriere, et demoura le visage moult fort decouvert, et ce fit il pour ce qu'il estoit homme de courte vue et la vouloit desempescher.
    Mém. I, p. 318, dans LACURNE, au mot visière. (vue)
  9. Et pour conclure et mectre fin en ceste matiere que j'ay calculée et esclaircie au mieux qu'il m'a esté possible.
    Gage de bat. f° 29, dans LACURNE (calculer)
  10. Un grand monceau de rabotures, tirées au rabot d'ais de sapin ou d'autre bois.
    Mém. liv. I, p. 234, dans LACURNE (raboture)
  11. Fut iceluy pavillon palissé et barré moult honorablement.
    Mém. liv. I, p. 295, dans LACURNE (palisser)
  12. Le roy Charles VII assembla son conseil pour regarder et avoir avis sur les gens d'armes qui destruysoient son royaume de toutes parts, et pour mettre les dits gens d'armes en reigle et en ordre et les entretenir sans les perdre et eslongner de luy ; et fut avisé qu'il metteroit sus quinze cens lances choisiz et esluz, et les diviseroit en certains capitaines pour les conduire et gouverner, et que chascune lance auroit deux archers et un coustiller armé.
    Mém. liv. I, p. 240, dans LACURNE (gendarme)
  13. Le duc, trois gueux pour sa cuisine, chascun compté par quatre mois, et doit le gueux en la cuisine commander, ordonner et estre obei.
    État de la maison de Charles le Hardy, t. II, p. 520, édit. PETITOT. (gueux, euse)
  14. Le sauf conduit fut accordé, parmy payant les tributs accoustumés.
    Mém. p. 43, dans LACURNE (parmi [1])
  15. Sous feinte de vouloir estre protecteur et garde des biens de la dicte Marie, sa parente et filleule, sous umbre d'amitié et à main forte il prit en sa main tous les païs de Bourgogne.
    Mém. Introd. ch. VI (main-forte)
  16. Un coutelier qui faisoit couteaux et canivetz à la marque du wibrekin, qui en françois est appellé un foret à percer vin.
    Mém. I, p. 373, dans LACURNE (vilebrequin)
  17. Les inhabitans des dictz pays, notamment de Flandres.
    Mém. Avis aux lecteurs. (notamment)
  18. J'ai toujours ouï dire que contre forts et contre faux ne valent ne lettres ne sceaux.
    Mém. liv. II, p. 621, dans LACURNE (fort, orte)
  19. À la neufiesme et derniere course d'icelles armes, le chevalier atteindit sur le bord de la croisée de l'armet de l'escuyer, et fut l'atteinte si grande que la coiffe fut enfoncée jusques à la teste.
  20. L'enfant au maillolet et es mains des nourrices.
    Mém. p. 618, dans LACURNE (maillot [2])