Georges CUVIER, auteur cité dans le Littré

CUVIER (1769-1832)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme CUVIER a été choisie.

paléontologue et anatomiste

60 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Georges CUVIER

Voici un tirage aléatoire parmi ses 60 citations dans le Littré.

  1. S'il restait quelque grand continent à découvrir, on pourrait encore espérer de connaître de nouvelles espèces, parmi lesquelles il pourrait s'en trouver de plus ou moins semblables à celles dont les entrailles de la terre nous ont montré les dépouilles.
    Révol. p. 69 (continent [2])
  2. La mer jette dans les ports, dans les anses, dans tous les lieux où ses eaux sont plus tranquilles, des vases et des sédiments.
    Révol. p. 39 (sédiment)
  3. L'élévation du sol de l'Égypte s'opère en même temps que cette extension de sa surface, et le fond du lit des fleuves s'élève dans la même proportion que les plaines adjacentes.
    Révol. p. 149 (adjacent, ente)
  4. Il est arrivé plusieurs fois que des terrains mis à sec ont été recouverts par les eaux, soit qu'ils aient été abîmés, ou que les eaux aient été seulement portées au-dessus d'eux.
    Rév. 21 (abîmé, ée)
  5. Ils [les anciens] connaissaient les rhinocéros à deux cornes, que l'Europe moderne n'a point vus vivants.
    Révolutions, p. 72 (rhinocéros)
  6. Les de Saussure, les Deluc, les Werner, sont partis de là [des observations de Pallas] pour arriver à la véritable connaissance de la structure de la terre, si différente des idées fantastiques des écrivains précédents.
    Éloge de Pallas. (fantastique)
  7. Le recouvrement des terrains cultivables de l'Égypte par les sables stériles de la Libye qu'y jette le vent d'ouest, est un phénomène de même genre que les dunes.
    Révolutions, p. 166 (recouvrement [1])
  8. Petit arbre,
    Anat. comp. 27<sup>e</sup> leçon (arbuscule)
  9. Beaucoup de leurs profils de quadrupèdes [chez les Égyptiens] n'offrent qu'une jambe devant et une derrière.
    Révol. p. 88 (profil)
  10. Les cantons les plus riches de Hollande ont continuellement le spectacle effrayant de fleuves suspendus à vingt et trente pieds au-dessus du sol.
    Rév. p. 160 (fleuve)
  11. Les anciens connaissaient très bien l'éléphant, et l'histoire de ce quadrupède est plus exacte dans Aristote que dans Buffon.
    Révol. 72 (éléphant)
  12. C'est là [dans le calcaire] que la classe des reptiles prend tout son développement et déploie des formes variées et des tailles gigantesques,
    Révolut. p. 297 (reptile)
  13. Les atterrissements augmentent vite ; ils devaient augmenter bien plus vite encore dans les commencements, lorsque les montagnes fournissaient davantage de matériaux aux fleuves.
    Révol. p. 147 (atterrissement)
  14. Leur conservation [des coquilles fossiles] n'est pas moins parfaite ; l'on n'y observe le plus souvent ni détrition ni ruptures, rien qui annonce un transport violent.
    Révol. p. 14 (détrition)
  15. Squelettes humains découverts à la Guadeloupe dans une roche formée de parcelles de madrépores rejetées par la mer et unies par un suc calcaire.
    Révol. p. 140 (suc)
  16. Ces faits [paléontologiques] qui ont jeté les premières semences d'un grand corps de doctrine,
    Éloge de Pallas (métaphore)
  17. Élevons-nous, avançons vers les grandes crêtes, vers les sommets escarpés des grandes chaînes.
    Révol. p. 24 (crête)
  18. Les coquilles ne sont pas seulement développées dans les sables mobiles, mais les pierres les plus dures les incrustent souvent et en sont pénétrées de toute part.
    Révol. 13 (incruster)
  19. Le granit dont les crêtes centrales de la plupart de ces chaînes sont composées, le granit, qui dépasse tout, est aussi la pierre qui s'enfonce sous toutes les autres.
    Révol. p. 26 (granit)
  20. Partout où l'industrie de l'homme n'a pas su les fixer, ces dunes avancent dans les terres aussi irrésistiblement que les alluvions des fleuves avancent dans la mer.
    Révol. 165 (irrésistiblement)