Georges CUVIER, auteur cité dans le Littré

CUVIER (1769-1832)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme CUVIER a été choisie.

paléontologue et anatomiste

60 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Georges CUVIER

Voici un tirage aléatoire parmi ses 60 citations dans le Littré.

  1. Ce n'est pour ainsi dire que depuis peu de temps que le delta a paru.
    Révol. p. 148 (delta)
  2. Chacun peut apprendre en Hollande et en Italie avec quelle rapidité le Rhin, le Pô et l'Arno, aujourd'hui qu'ils sont ceints par les digues, élèvent leur fond.
    Rév. 151 (ceindre)
  3. Les cantons les plus riches de Hollande ont continuellement le spectacle effrayant de fleuves suspendus à vingt et trente pieds au-dessus du sol.
    Rév. p. 160 (fleuve)
  4. Cette disposition à se seconder mutuellement multiplia à l'infini les avantages que donnaient déjà à l'homme isolé son adresse et son intelligence.
    dans le Dict. de DOCHEZ. (seconder)
  5. C'est là [dans le calcaire] que la classe des reptiles prend tout son développement et déploie des formes variées et des tailles gigantesques,
    Révolut. p. 297 (reptile)
  6. Dans mon ouvrage sur les ossements fossiles, je me suis proposé de reconnaître à quels animaux appartiennent les débris osseux dont les couches superficielles du globe sont remplies.
    Révolut. p. 7 (couche)
  7. Je doute qu'on eût deviné, si l'observation ne l'avait appris, que les ruminants auraient tous le pied fourchu, et qu'ils seraient les seuls qui l'auraient.
    Révolutions, p. 104 (ruminant, ante)
  8. M. Delambre reconnaît avec Bailly et Legentil qu'ils [les Indiens] ont des procédés de calculs qui, sans prouver l'ancienneté de leur astronomie, en montrent au moins l'originalité.
    Révol. p. 237 (originalité)
  9. Les vagues de la mer en [de certaines côtes] rongent le pied et en escarpent toute la hauteur en falaise, parce que les parties les plus hautes, se trouvant sans appui, tombent sans cesse dans l'eau.
    Révol. p. 38 (escarper)
  10. Nous voyons bien que les animaux à sabot doivent être herbivores, puisqu'ils n'ont aucun moyen de saisir leur proie.
    Rév. p. 102 (sabot)
  11. Telle est l'action des eaux sur la terre ferme ; et l'on voit qu'elle consiste presque uniquement en nivellements, et en nivellements qui ne sont pas indéfinis.
    Révol. p. 38 (nivellement)
  12. Les atterrissements augmentent vite ; ils devaient augmenter bien plus vite encore dans les commencements, lorsque les montagnes fournissaient davantage de matériaux aux fleuves.
    Révol. p. 147 (atterrissement)
  13. Les coquilles ne sont pas seulement développées dans les sables mobiles, mais les pierres les plus dures les incrustent souvent et en sont pénétrées de toute part.
    Révol. 13 (incruster)
  14. L'élévation du sol de l'Égypte s'opère en même temps que cette extension de sa surface, et le fond du lit des fleuves s'élève dans la même proportion que les plaines adjacentes.
    Révol. p. 149 (adjacent, ente)
  15. S'il restait quelque grand continent à découvrir, on pourrait encore espérer de connaître de nouvelles espèces, parmi lesquelles il pourrait s'en trouver de plus ou moins semblables à celles dont les entrailles de la terre nous ont montré les dépouilles.
    Révol. p. 69 (continent [2])
  16. La craie que l'on croyait si moderne se trouve ainsi bien reculée dans les siècles de l'avant-dernier âge.
    Révol. p. 285 (craie)
  17. Quelqu'un qui voit seulement la piste d'un pied fourchu, peut en conclure que l'animal qui a laissé cette empreinte ruminait.
    Révol. p. 105 (fourchu, ue)
  18. Partout où l'industrie de l'homme n'a pas su les fixer, ces dunes avancent dans les terres aussi irrésistiblement que les alluvions des fleuves avancent dans la mer.
    Révol. 165 (irrésistiblement)
  19. Des êtres vivants sans nombre ont été victimes de ces catastrophes ; les uns, habitants de la terre sèche, se sont vus engloutis par des déluges ; les autres, qui peuplaient le sein des eaux, ont été mis à sec avec le fond des mers subitement relevé.
    Révol. p. 23 (déluge)
  20. Des carnassiers de la taille du lion, du tigre, de l'hyène, désolaient ce nouveau règne animal.
    Révol. 328 (carnassier, ière)