Georges CUVIER, auteur cité dans le Littré
CUVIER (1769-1832)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme CUVIER a été choisie.paléontologue et anatomiste
Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Georges CUVIER
Voici un tirage aléatoire parmi ses 60 citations dans le Littré.
Les animaux beaucoup plus remarquables que recèlent ces mêmes schistes, ce sont les lézards volants que j'ai nommés ptérodactyles.
Révol. p. 304 (lézard)M. Delambre reconnaît avec Bailly et Legentil qu'ils [les Indiens] ont des procédés de calculs qui, sans prouver l'ancienneté de leur astronomie, en montrent au moins l'originalité.
Révol. p. 237 (originalité)La mer jette dans les ports, dans les anses, dans tous les lieux où ses eaux sont plus tranquilles, des vases et des sédiments.
Révol. p. 39 (sédiment)Après lui et presque son égal, venait aussi, dans les pays qui forment les deux continents actuels, le mastodonte à dents étroites, semblable à l'éléphant, armé comme lui d'énormes défenses, mais de défenses revêtues d'émail, plus bas sur ses jambes, et dont les mâchelières mamelonnées et revêtues d'un émail épais et brillant, ont fourni pendant longtemps ce que l'on appelait turquoises occidentales.
Révol. 330 (mastodonte)Je doute qu'on eût deviné, si l'observation ne l'avait appris, que les ruminants auraient tous le pied fourchu, et qu'ils seraient les seuls qui l'auraient.
Révolutions, p. 104 (ruminant, ante)Venise a peine à maintenir les lagunes qui la séparent du continent, et, malgré tous ses efforts, elle sera inévitablement un jour liée à la terre ferme.
Rév. 152 (lagune)Les portions les plus dures, à force d'être roulées par les vagues, forment ces galets arrondis, ou cette grève qui finit par s'accumuler assez pour servir de rempart au pied de la falaise.
Révol. p. 38 (galet [1])Ces fameux amas de charbons de terre ou de houille, ressource de l'âge présent et reste des premières richesses végétales qui aient orné la face du globe…
Révol. 293 (houille)Les vagues de la mer en [de certaines côtes] rongent le pied et en escarpent toute la hauteur en falaise, parce que les parties les plus hautes, se trouvant sans appui, tombent sans cesse dans l'eau.
Révol. p. 38 (escarper)Mon objet sera d'abord de montrer par quel rapport l'histoire des os fossiles d'animaux terrestres se lie à la théorie de la terre.
Révol. p. 10 (fossile)Les circonstances où il [Pallas] écrivait n'avaient rien de bien inspirant.
Éloge de Pallas. (inspirant, ante)Le Pô, depuis l'époque où on l'a enfermé de digues, a tellement élevé son fond que la surface des eaux est maintenant plus haute que les toits des maisons de Ferrare.
Rév. p. 155 (fond)Les tourbières produites si généralement dans le nord de l'Europe par l'accumulation des débris des sphagnum et d'autres mousses aquatiques.
Révol. p. 167 (tourbière)Les coquilles ne sont pas seulement développées dans les sables mobiles, mais les pierres les plus dures les incrustent souvent et en sont pénétrées de toute part.
Révol. 13 (incruster)Les dunes, ces monticules sablonneux qui, si l'industrie de l'homme ne parvient à les fixer par des végétaux convenables, s'avancent vers l'intérieur des terres.
Révol. p. 37 (dune)Les Chaldéens paraissent avoir connu la période de dix-huit ans qui ramène les éclipses de lune dans le même ordre, et que la simple inspection de leurs registres devait promptement leur donner.
Révol. p. 234 (registre)Pendant ce temps, les alluvions du Nil ont été déposées le long du reste du rivage et l'ont immensément étendu,
Révol. p. 148 (alluvion)Les cantons les plus riches de Hollande ont continuellement le spectacle effrayant de fleuves suspendus à vingt et trente pieds au-dessus du sol.
Rév. p. 160 (fleuve)Le granit dont les crêtes centrales de la plupart de ces chaînes sont composées, le granit, qui dépasse tout, est aussi la pierre qui s'enfonce sous toutes les autres.
Révol. p. 26 (granit)Ces fameuses plâtrières des environs de Paris qui ont donné tant de facilité à orner les édifices de cette grande ville, et où nous avons découvert des genres entiers d'animaux terrestres dont on n'avait aperçu aucune trace.
Révol. p. 287 (plâtrière)