Michel BARON, auteur cité dans le Littré
BARON (1653-1729)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme BARON a été choisie.comédien et auteur dramatique
Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Michel BARON
Voici un tirage aléatoire parmi ses 100 citations dans le Littré.
Pour moi, madame, je ne m'amuse point à la bagatelle.
Fausse prude, II, 4 (bagatelle)Au moins que je connaisse le frappeur qui me frappait si distinctement ; si c'est une frappeuse, elle est diablement forte.
Homme à bonnes fortunes, V, 8 (frappeur, euse)J'admire votre attache ; les diamants en sont fort nets.
l'Homme à bonnes fortunes, II, 5 (attache)Vous voulez vivre à votre manière, vous y vivrez.
Coquette et fausse prude, I, 4 (y [2])Les piques des amants renouvellent l'amour.
Andrienne, III, 4 (pique [3])Dans les commencements, c'est une fatigue de diable, quand il faut porter réglément trois billets tous les jours.
Homme à bonnes fort. I, 10 (réglément)Heureusement j'avais celle-ci [lettre] sur moi, elle suffit.
Homme à bon. fort. II, 7 (sur [1])Hélas ! que faire ? hélas ! de quel côté tourner ?
Andrienne, I, 7 (tourner)J'ai donné ma parole et je viens la reprendre.
Andrienne, III, 4 (reprendre)Carin : Byrrhie, instruit d'un mal que j'ai peine à vous taire, Vous peut de mes malheurs découvrir le mystère. -Byrrhie : Oui-da, je le ferai très volontiers.
Andrienne, II, 2 (oui)Une femme a toujours le talent De rendre son époux aussi souple qu'un gant.
le Jaloux, IV, 1 (souple)Je recevrais vingt nasardes.
Coquette et fausse prude, III, 1 (nasarde)… ce que je me propose Pourrait déjà donner un grand branle à la chose.
l'Andrienne, III, 9 (branle)Tu n'es pas mal impertinent.
Homme à bonnes fort. I, 5 (mal, ale)Pour lors, je passerai sans trouble et sans affaire La nuit à bien dormir, le jour à ne rien faire.
Andrienne, III, 7 (passer)Mais enfin, interdit, languissant, abattu, Je sens que je n'ai plus ni force ni vertu.
Andrienne, II, 1 (vertu)À faire le pimpant n'a-t-il pas bonne grâce ?
École des pères, V, 7 (pimpant, ante)Avec empressement je le prie et reprie De me dire en quel lieu vous êtes.
Andrienne, II, 3 (reprier)Lorsqu'on ne peut, monsieur, faire ce que l'on veut, Il faudrait essayer à vouloir ce qu'on peut.
Andrienne, II, 1 (pouvoir [1])Dans un jour de plaisir et de magnificence, On ne regarde pas, mon frère, à la dépense.
École des pères, V, 8 (regarder)