Jean-Antoine de BAÏF, auteur cité dans le Littré
BAÏF (1532-1589)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme BAÏF a été choisie.poète de la Pléïade
Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Jean-Antoine de BAÏF
Voici un tirage aléatoire parmi ses 46 citations dans le Littré.
Alors la nege espesse et les froides brouées.
Œuvres, p. 6, recto, dans LACURNE SAINTE-PALAYE (brouée)Tes egnes [aines] et tes gigoteaux Sont marquetez de maquereaux.
Passetemps, III, à Claudine. (maquereau [1])Age pervers, qui se veautre en ordure ! Une putain, un monstre de nature, Un nain, un fou, un matassin emporte Tout ce qu'il veut…
Œuv. p. 123, dans LACURNE (putain)La Cypris de sa main cueut trois pommes dorées.
Œuvres, p. 186, dans LACURNE (cueillir)Apollon brusle et s'avance ; La chienne oit [entend] comme il s'eslance, Froissant des coudres le fort ; Elle aboye à sa presence, Et la nymphe desendort.
Œuvres, f° 28, dans LACURNE (désendormir)Execré.
Œuv. f° 68, dans LACURNE (exécrer)Tantost estendu, s'il luy plaist, à l'ombre d'un vieil chesne il est à l'envers sur l'herbe coquine.
Œuvres, p. 90, dans LACURNE (coquin, ine)Leur destin, Eternel ou termé selon l'arrest divin.
Œuv. p. 198 (termer)…Recouvrant la parole : Pardonnez-moy, dit-il, ma reprise [réprimande] trop folle, Ô vous que j'ay repris…
Œuv. p. 184, dans LACURNE (reprise)Le jeu lors et les ris, les libres chansonetes (Car tout est de vendange), et les gayes sornetes, Regne entre les garçons, qui, aux filles meslez, Emplissent les hoteaux de raisins grivelez.
Œuv. p. 5, dans LACURNE (grivelé, ée [1])Adieu les plaisirs des champs ; Plus à l'abri de l'ombrage Des oyselets aux doux chants On n'oit le caquet ramage.
Œuvres, p. 75, dans LACURNE (caquet)[Les animaux] … qui ont leur repaire aux caveins des montagnes.
Œuvres, p. 4, dans LACURNE (cavin)Coc chante ou non, viendra le jour.
dans LEROUX DE LINCY, t. I, p. 172 (coq [1])…Et comme des nuages Paroissent enflammés de meslez peinturages.
Œuv. p. 1, verso, dans POUGENS (peinturage)… Mille fleches, Mille amoureuses flameches, Au cœur du dieu dardillant…
Œuvres, f° 28, dans LACURNE (dardiller)Comme font les garsons au jeu de frapemain, Qui se mussent la teste et la monstrent soudain.
Œuv. p. 10, dans LACURNE (frappe-main)Neptune s'en venoit, d'un soufle vehement, De la terre elocher le massif fondement.
Œuvres, f° 21, dans LACURNE (élocher)D'où pendoit un coutelas luné en façon d'une serpe.
Œuv. p. 40, dans LACURNE (luné, ee)Le temps viendra qu'âprement à ton tour Tu languiras, comme moi, de l'amour.
Amour veng. stance 87 (âprement)Les Eumenides lors en leurs senestres salles T'enlevans tout soudain, dans les eaux infernalles Plongerent tristement ton maudissable corps.
Œuvres, p. 68, dans LACURNE (maudissable)