Louis RACINE, auteur cité dans le Littré
RACINE L. (1692-1763)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme RACINE L. a été choisie.fils du tragédien
Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.
Quelques citations de Louis RACINE
Voici un tirage aléatoire parmi ses 56 citations dans le Littré.
Libre d'ambition, de soins débarrassé, Je me plais dans le rang où le ciel m'a placé.
la Relig. ch. IV (libre)Et le vieux Océan, père de la nature, Étend autour de nous son humide ceinture.
Religion, V (ceinture)La riche fiction est le charme des vers ; Nous vivons du mensonge.
Relig. ch. IV (vivre [1])À de moindres objets tu peux le reconnaître ; Contemple seulement l'arbre que je fais croître.
Religion, I (croître)Oui, grand Dieu, c'est en vain que l'humaine faiblesse Sans toi veut se parer du nom de la sagesse.
la Grâce, I (vouloir [1])Lorsque les vents, méditant le ravage, Pour forcer leur prison réunissent leur rage.
dans GIRAULT-DUVIVIER (prison)Insensible à la vie, insensible à la mort, Il ne sait quand il veille, il ne sait quand il dort.
Rel. II (insensible)Nul de nous de sang-froid, avouons-le sans honte, N'envisage la nuit.
Épître sur l'homme (nul, nulle)C'était un crime de mort de paraître en la présence du roi [sans être appelé].
Rem. Esth. I, 3 (mort [3])Non, des mystères saints l'auguste obscurité Ne me fait point rougir de ma docilité.
Relig. VI (docilité)Tout était adoré dans le siècle païen ; Par un excès contraire on n'adore plus rien.
Relig. VI (tout, toute)Tout était adoré dans le siècle païen.
Relig. ch. VI (païen, enne)Mèdes, Assyriens, vous êtes disparus ; Parthes, Carthaginois, Romains, vous n'êtes plus.
Relig. ch. III (disparu, ue)Voilà ce que sait faire un grand poëte ; les mœurs, soit bonnes, soit mauvaises, de ses principaux personnages sont si marquées, et, pour me servir d'un terme de peinture dans notre langue, si prononcées, qu'elles nous préparent à ce qui doit arriver.
Traité de la poés. dram. x, 2 (prononcé, ée)Un voile ténébreux Nous dérobe le jour qui doit nous rendre heureux.
la Grâce, ch. I (devoir [1])Tout mortel en naissant apporte dans son cœur Une loi qui du crime y grave la terreur.
Épît. II (tout, toute)Est-ce moi qui t'appelle et qui règle ton cours ?
Relig. I (ce [2])Toujours ivre de sang et toujours altéré.
Rel. I (ivre)Combien d'avant-coureurs annoncent ta ruine !
Rel. IV (annoncer)Demeurons dans le poste où le ciel nous a mis.
Relig. ch. VI (poste [4])