Charles-Simon FAVART, auteur cité dans le Littré
FAVART (1710-1792)
Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme FAVART a été choisie.Œuvres citées dans le dictionnaire Littré
Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.
Titre de l'œuvre | Date de parution | Citations |
---|---|---|
Les Trois Sultanes ou Soliman Second | 1761 | 31 citations |
Ninette à la cour | 1755 | 8 citations |
Quelques citations de Charles-Simon FAVART
Voici un tirage aléatoire parmi ses 61 citations dans le Littré.
L'indifférence est le sommeil de l'âme.
Soliman II, III, 9 (indifférence)Faut-il grasseyer ? quelquefois cela ne sied pas mal.
Ninette, II, 3 (grasseyer)Jeune et novice encore, J'aime de bonne foi.
Annette et Lubin, 7 (novice)Ces lits où la mollesse S'unit avec les maux, Nourrissent la paresse, Sans donner le repos.
Annette et Lubin. sc. 8 (nourrir)Que nous demande ce vieux singe, Ce marabout coiffé de linge ?
Soliman, II, 2 (marabout [1])Quand il fallait aplanir les chemins, Piocher, bêcher et faire des levées.
Annette et Lubin, 16 (piocher)La louange vous embarrasse ; La craindre c'est la mériter.
Soliman II, I, 5 (louange)En toute occasion rabaisse mes rivales.
Soliman II, II, 11 (rabaisser)Ne sois donc pas si honteuse, Annette, redresse-toi.
Annette et Lubin, sc. 10 (honteux, euse)Moi, te voyant en peine, je défais ton lacet.
Annette et Lubin, sc. VII (défaire)Ils m'ont quasiment écrasé ; je suis brisé.
Ninette, II, 9 (quasiment)Il faut égayer le repas ; Point de flegme espagnol ; vive l'étourderie.
Soliman II, II, 13 (flegme)Laissez faire : j'arrangerai tout cela joliment.
Soliman II, II, 5 (joliment)Quitte après tout pour la détruire, Dès que nous y trouverons jour.
Soliman II, II, 7 (jour)Courage, allons ; j'aime assez les querelles : C'est un revenant-bon pour moi.
Soliman II, II, 12 (revenant-bon)Ce trouble intéressant, ce désordre ingénu.
Soliman II, I, 4 (trouble [1])Tu ne feras plus le dragon, belle brunette.
Cherch. d'esprit, sc. 12 (dragon)Et je mugis des vers en étouffant ma voix.
Acajou, I, 4 (mugir)De son teint la fleur naïve, Toujours fraîche, toujours vive, Confond les efforts de l'art.
Ninette, I, 2 (fleur)Mais, mais, je vous trouve excellent ! Et de vos volontés voilà donc le ministre ?
Soliman II, I, 10 (excellent, ente)