Guillaume de MACHAUT, auteur cité dans le Littré

MACHAUT (1300?-1377)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme MACHAUT a été choisie.

182 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Cette liste des œuvres a été compilée manuellement pour ce site web. Elle n'est pas exhaustive, et privilégie autant que possible les références aux éditions originales. Elle peut toutefois comprendre des publications contemporaines d'É. Littré, lorsque ce dernier était explicite sur ses sources ou qu'il cite des compilations. Le dictionnaire imprimé contenait d'ailleurs une liste très partielle des œuvres et auteurs.

Titre de l'œuvre Date de parution Citations
Les Oeuvres de Guillaume de Machault 181 citations

Quelques citations de Guillaume de MACHAUT

Voici un tirage aléatoire parmi ses 182 citations dans le Littré.

  1. Assez rueve [demande] qui se complaint.
  2. … plus de cent, Voire de mil tout à un sible L'apeloient le roy paisible.
    p. 106 (cible)
  3. Ne pren de tes gens que tes rentes, Soit en blez, en cens ou en ventes ; Car se tu les vues [veux] escorchier, Miex te vaurroit estre un porchier.
    p. 120 (écorcher)
  4. Et s'il est que desconfis soies Et que tes gens mors et pris voies, Jà soit ce que li cuer t'en vueille, Garde que ton œil ne s'en meuille : Car c'est maniere de commere, Qui doit plourer l'ame sa mere.
    p. 110 (commère)
  5. Des autres mois soit [mars] desjoins et ostez Et de nature oubliez et haïs.
    p. 130 (disjoindre)
  6. Et se tu veus dire que tu ne les mie subgès de fortune, Et que ta grant attraction [descendance] Afranchist ta condition…
    p. 96 (condition)
  7. C'est l'estoile qui par mer me conduist ; C'est la nasselle Forte, seüre et plaine de deduit ; C'est li patrons qui me gouverne et duit ; C'est l'aviron qui de mer fent le bruit.
  8. Et s'il y a femme qui gise [soit en couches], Soit tantost ton enseigne mise Sur le sommet de la maison.
    p. 115 (ton [1])
  9. Honneur est grains, richesse est paille ; Donc qui a honneur, il est riches.
    p. 102 (honneur)
  10. Mais s'il advient qu'il [mon cheval] se defferre, Dix hommes faut quant on le ferre.
    p. 81 (déferrer)
  11. Nulz ne faisoit les chans arer, Les blez soier, les vignes faire, Qui en donnast [quand on en donnerait] triple salaire, Non certes pour un denier vint ; Tant estoient mort [dans la peste noire]…
    p. 75 (denier)
  12. Li sires [le Seigneur], qui droit regle et ligne, Prent ses vengeances si obscures Mainte fois sur les creatures, Que nulz ne le porroit penser, Imaginer ne recenser.
    p. 96 (recenser)
  13. S'ot un chappelet de rosettes, De muguet et de violettes.
    p. 15 (muguet)
  14. [Mon cheval] Le marischal a defoulé, Et s'a son vallet affolé, Et à la force de ses reins Ha rompu deus travaus à Reins.
    p. 81 (travail)
  15. Li sires, qui droit regle et ligne, Prent ses vengeances si obscures Maintes fois sur les creatures, Que nulz ne le porroit penser.
    p. 96 (régler)
  16. Car la mortalitez des boces [bubons pestilentiels] Qu'on apeloit epidemie, Estoit du païs estanchie, Et que les gens plus ne moroient.
    p. 76 (étancher)
  17. L'autre porte une houpelande, L'autre un pourpoint, l'autre un lodier.
    p. 119 (houppelande)
  18. …Sire, vous me deïstes, Quant secretaire me feïstes, Com nobles princes et entiers, Que vous m'aideriez volentiers, Se j'avoie necessité.
  19. L'un [mètre] est de rime serpentine, L'autre equivoque ou leonine.
  20. Et si me voy de mort en aventure, Se Diex et vous ne me prenez en cure.
    p. 57 (aventure)