Alphonse DAUDET, auteur cité dans le Littré

DAUDET (1840-1897)

68 citations dans le Littré

Quelques citations de Alphonse DAUDET

Voici un tirage aléatoire parmi ses 68 citations dans le Littré.

1. Ce n'est pas à dire que M. Dumas ne possède aussi un style bien à lui, mais sec, disséqueur, en dedans, impropre à exprimer la couleur de la surface des choses.
   Journ. offic. 27 sept. 1875, p. 8385, 2^e col. (disséqueur)
2. Le joli refrain de la diva.
   Journ. offic. 30 nov. 1874, p. 7879, 3^e col. (diva)
3. Un de ces inextricables romans de Frédéric Soulié, ténébreux, embroussaillé.
   Journ. offic. 26 fév. 1877, p. 1474, 2^e col. (embroussaillé, ée)
4. … époque terrible et grandiose que tant de livres, de tableaux, de lithographies, de romances, de mélodrames ne sont pas encore parvenus à banaliser.
   Journ. offic. 1er mai 1876, p. 3034, 2^e col. (banaliser)
5. L'inattendu de ce ruement de brute.
   Journ. des Débats, 2 août 1877, 1re page, feuilleton, 3^e col. (ruement)
6. Il gagnait à tous ces frottements de se parisianiser un peu plus chaque jour.
   le Temps, 5 août 1877, feuilleton, 1re page, 2^e col. (parisianiser)
7. M. Parade, qui joue le rôle épisodique de Laviolette, beau-frère de Ribeaudet, est superbe dans sa gâteuse.
   Journ. offic. 27 nov. 1876, p. 8739, 2^e col. (gâteuse)
8. Pour un taureau qui manque, la ferrade ne chôme pas.
   ib. 2^e col. (ferrade)
9. Même avec cette conviction paralysante qu'il est enguignonné…
   Journ. offic. 6 sept. 1875, p. 7609, 1re col. (paralysant, ante)
10. Nous en sommes arrivés à nous méfier prodigieusement de ces impressions du premier soir, capricieuses, nerveuses, souvent déjugées par le vrai public et par ce juge souverain en matière de succès qu'on appelle la feuille de location.
    Journ. offic. 30 août 1875, p. 7383, 4^e col. (déjuger (se))
11. être jeune, tout est là ; moi, je suis vieux, je suis marqué.
    ib. 5003, 1re col. (marqué, ée)
12. Les gens mariés [de Guérande] le portent [le tricorne] en bataille, comme les gendarmes ; les veufs, les garçons en tournent les pointes d'une autre manière.
    Journ. offic. 16-17 août 1875, p. 5923, 3^e col. (bataille)
13. Même avec cette conviction paralysante qu'il est enguignonné, tout ce qu'il entreprend lui réussit à merveille.
    Journ. offic. 6 sept. 1875, p. 7609, 1re col. (enguignonné, ée)
14. On y reconnaît [dans Mlle Duparc] ce ton philosophique et tutoyeur, doctoral et familier, que M. Dumas a adopté dès longtemps.
    Journ. offic. 25 janv. 1875, p. 658, 1re col. (tutoyeur, euse)
15. Au beau milieu d'un acte, il [Sardou] sait changer tout à coup sa voilure et virer de bord avec un art infini : " À Dieu-va ! " comme disent les matelots.
    Journ. offic. 18 mai 1874, p. 3340, 2^e col. (adieu-va ou à dieu-va)
16. Colombe, elle [une dame nommée Colombe] ne l'est guère ni par la douceur de la voix, ni par l'affectuosité…
    Journ. offic. 25 sept. 1876, p. 7171, 1re col. (affectuosité)
17. La Guigne, comédie en trois actes par MM. Labiche, Leterrier et Vanloo… « J'ai la guigne… » ne cesse de répéter le pauvre Gédéon découragé d'avance par le mauvais sort qu'il attribue à son jour de naissance.
    Journ. offic. 6 sept. 1875, p. 7609, 1re col. (guigne)
18. L'amoureux Stéphane est bien encore un peu cotonneux, mais ce défaut de l'amant est destiné à mieux faire valoir le mari.
    Journ. offic. 3 mai 1875, p. 3184, 2^e col. (cotonneux, euse)
19. C'était un grand contentement pour ces deux dépatriés de trouver en ces pauvres ménages… un coin de tendresse et de vie familiale.
    Fromont jeune et Risler aîné, I, 2 (dépatrié, ée)
20. C'est la justification de Froufrou, ce père sans dignité, affamé de gandinerie, de cocoterie, protecteur de petites débutantes…
    Journ. offic. 30 août 1875, p. 1384, 1re col. (gandinerie)