Théophile GAUTIER, auteur cité dans le Littré

TH. GAUTIER (1811-1872)

Dans le texte d'origine du Littré, les auteurs pouvaient être nommés par de nombreuses variantes. Dans cette version en ligne, la forme TH. GAUTIER a été choisie.

127 citations dans le Littré

Œuvres citées dans le dictionnaire Littré

Aucune œuvre identifiée, le travail d'identification des œuvres reste à faire sur cet auteur.

Quelques citations de Théophile GAUTIER

Voici un tirage aléatoire parmi ses 127 citations dans le Littré.

  1. Les ours de Sibérie et les ours des cartons Dans cet autre Spitzberg avaient pris leurs cantons.
    Prologue d'ouverture pour l'Odéon (ours)
  2. Les avalanches et les éboulis de la montagne qui s'étendent jusque-là.
    Feuilleton du Monit. univ. 7 sept. 1868 (éboulis)
  3. Celui qui est rasé, comme on dit en argot de l'endroit, quitte discrètement sa place, les mains dans ses goussets vides.
    Feuilleton du Moniteur universel, 3 juin 1867 (rasé, ée)
  4. Placés à l'y du carrefour, nous hésitions entre les deux routes.
    le Bien public, 10 mars 1872 (y [1])
  5. Une femme aux traits réguliers, aux cheveux d'un noir d'enfer, comme dit Alfred de Musset.
    Monit. univ. 3 juin 1867 (noir, oire)
  6. Il [l'hiver] chante d'une voix peu sûre Des airs vieillots et chevrotants ; Son pied glacé bat la mesure Et la semelle en même temps.
    Émaux et camées, Fantaisie d'hiver (semelle)
  7. Nous engageons aussi M. Émile Breton à ne pas abuser des traits noirs dans l'accentuation des contours ; cela ressemble à ces traits de force que le maître donne après coup aux dessins cotonneux des petits pensionnaires.
    Journ. officiel, 27 juin 1869 (trait [1])
  8. De leurs fleurs férocement bariolées et tigrées… s'exhalent des parfums âcres, pénétrants, vertigineux.
    Portraits contemp. Baudelaire. (férocement)
  9. Le ton de la robe [d'un chien], le hérissé du poil,
    cité dans le Dict. de POITEVIN (hérissé, ée)
  10. Jetant le voile qui te pèse, Réalité que l'art rêva, Comme la princesse Borghèse Tu poserais pour Canova.
    Émaux et camées, à une robe rose (poser)
  11. C'était pour apaiser les moires que Polycrate trop heureux jetait à la mer son anneau rapporté par un pêcheur.
    Portraits contemp. Lamartine. (moires)
  12. Les médaillons des camarades, passés à l'huile grasse pour leur ôter la crudité du plâtre et les culotter, pardon du mot, les statuaires et les fumeurs l'emploient dans la même acception, étaient…
    le Bien public, 10 mars 1872 (culotter)
  13. Dans d'autres endroits, l'eau grise stagnait sur le sable gris.
    Journ. offic. 19 mars 1870, Feuilleton. (stagner)
  14. Je me plaisais à imiter les styles qu'au collége on appelle de décadence ; j'étais souvent taxé de barbarie et d'africanisme, et j'en étais charmé comme d'un compliment.
    Portr. contemp. 1er portr. celui de l'auteur. (africanisme)
  15. Il se trouve toujours bien une anecdote sur Talma pour combler le vide, et éviter que la colonne commencée ne fasse pantalon, c'est-à-dire n'atteigne pas le bas de la page.
    Feuilleton du Journ. offic. du 10 juill. 1866 (pantalon)
  16. La moitié du corps est baignée d'une ombre illuminée de reflets un peu trop transparents peut-être et qui, en certains endroits, font ce qu'on appelle lanterne.
    Moniteur universel, 9 mai 1868 (lanterne)
  17. Puis nous allions déjeuner à l'île Saint-Georges avec des rougets de l'Adriatique, des fruits de mer, du raisin et un pot de vin de Chypre.
    Monit. univ. 22 juin 1868 (fruit [1])
  18. Le vif-argent aux fleurs fantasques, Dont les vitraux sont ramagés.
    Émaux et camées, Symphonie en blanc majeur (ramagé, ée)
  19. Après sa mort, les tableaux et les objets d'art amassés avec tant de soins, d'amour et de passion devront s'éparpiller au feu des enchères.
    Journ. offic. 2 mai 1870, feuilleton. (enchère)
  20. Deux ou trois jeunes femmes, mises avec cette élégance un peu extravagante qui est le goût du jour, vestes soutachées d'or, robes à traînes ou bizarrement relevées.
    Feuilleton du Monit. univ. 3 juin 1867 (soutacher)